FC Sochaux

plessis aurait rencontré Bakari Koné le meilleur joueur et buteur de L2 et aurait proposer 2 M€

SANTOS à Toulouse

Kone il a déjà signé à Nice

sinon
« J’aimerais un club ambitieux qui vise une place en Coupe d’Europe. Lens et Toulouse m’ont contacté et sont deux bons clubs avec d’excellents joueurs » avait confié Santos (26 ans) dans les colonnes de BUT! la semaine

Foot - L1 : Le programme de reprise de Nancy


Alors qu'ils viennent d'entamer leurs vacances, les footballeurs nancéiens connaissent déjà leur programme de travail. La reprise s'effectuera le 23 juin et six matches amicaux sont au programme avant le coup d'envoi du championnat, le 7 août.

Le programme de l'AS Nancy-Lorraine
- le 3 juillet contre une sélection régionale d'Alsace (à Turkheim)
- le 9 juillet contre Strasbourg (ville de leur stage)
- le 13 juillet contre une équipe de l'UNFP (lieu à déterminer)
- le 16 juillet contre Sochaux (à Besançon) - le 20 juillet contre Gueugnon (à Neuves-Maisons)
- le 24 juillet contre le Slavia Prague (à Neuves-Maisons)



eheh

tro bon grosse fight programmer les 16 juillet hehe aie aie les nanceens

trop pur
si ya moyen de fighter je descends avec vous

casual style

santos a toulouse, content ou décu les gars??

desole j avais pas vu transferts

pour ma part c vrai que ca fait chier qu un joueur comme santos parte meme si ces dernier temps il est a un nivo en dessous de ce qui pouvait faire mais c un ga qui c donner a fond pdt 5 ans pour son club et voila il a choisi de partir tampi mais ca me tarde l annee prochaine pour l acclamation qu il recevra pour son retour a bonal

31 mai 2005 LE BILAN CHIFFRÉ DE LA SAISON


Richert et Isabey les plus sollicités, Ilan le meilleur buteur et la paire Oruma-Isabey comme meilleurs passeurs. Voici en chiffres un bilan de la saison 2004/2005.

Le FC Sochaux-Montbéliard a cette saison mis à l'œuvre 28 joueurs dans le cadre de la Ligue 1. Deux joueurs (Ilan, Kader) ont fait leur début dans le championnat de France après avoir côtoyé un autre championnat tandis que quatre jeunes ont découvert l'élite (Menez, Josse, Rey et Regnier).

Ils ont joué cette saison en Ligue 1 :
Richert, Isabey (37 matches), Pitau (36), Mathieu (34), Lonfat, Santos, Zaïri (31), Diawara (29), Ilan (27), Tall (26), Paisley, Oruma (25), Menez (24), Monsoreau (22), Potillon (19), Daf, Boudarène (1, N'Daw (16), Kader (9), Josse, Trapasso, Lavie, De Carvalho (3), Flachez, Gnanhouan, Rey, Regnier (1).

Pour sa première saison dans le Doubs, Ilan termine meilleur buteur du club avec douze réalisations. Le Brésilien se classe par ailleurs en cinquième position des buteurs de l'élite. Michaël Isabey et Wilson Oruma, avec cinq buts provoqués, sont quant à eux les meilleurs passeurs du FCSM cette saison.

Ils ont marqué en Ligue 1 :
Ilan (12 buts), Santos (9), Menez (4), Monsoreau, Oruma, Zaïri, Mathieu (2), Kader, Boudarene, Potillon, Diawara, Pitau, Isabey (1).

Teddy Richert est avec Michaël Isabey le joueur sochalien qui a le plus joué en L1 cette saison.

Ils ont fait marquer en Ligue 1 :
Isabey et Oruma (5 passes décisives), Pitau, Santos, Zaïri (2).

L'affluence moyenne à Bonal a été cette saison de 15.686 spectateurs, moyenne en légère baisse par rapport à la saison dernière où 16.504 spectateurs avaient fréquenté régulièrement l'enceinte du FCSM.

Les affluences à Bonal :
Plus forte affluence : FCSM-Marseille, 19.931 spectateurs le 12 septembre 2004. Plus faible affluence : FCSM-Lille, 11.905 spectateurs le 22 septembre 2004.
Affluence moyenne : 15.686 spectateurs

Le FCSM a oscillé cette saison entre la quatorzième et la troisième place de L1 avant de terminer au dixième rang du championnat.

Le classement :
Meilleur classement : 3ème entre le 19 novembre et le 4 décembre 2004
Plus mauvais classement : 14ème au soir du 22 septembre 2004
Classement final : 10 ème

1er juin 2005
L'INTERVIEW EXCLUSIVE DU PRÉSIDENT


Dans sa livraison de juin, Esprit Club (le magazine officiel du FCSM) interroge le président Jean-Claude Plessis. Voici en exclusivité une sélection des franches et détaillées réponses du président sochalien. L'intégralité sera dans le numéro 44 d'Esprit Club...

Existe-t-il une incompréhension entre certains supporters et vous-même ?

Non, je ne pense pas. Il y a tout simplement certains supporters qui ne comprennent pas comment fonctionne un club de football. J'entends la même chose tous les ans : les joueurs vont partir, nous n'aurons plus personne ! Bien sûr que des joueurs partent chaque année, ils sont faits pour cela, ils sont libres et je ne peux rien y faire. Si, demain, un supporter reçoit une proposition de travail à Nice, où il gagnera quatre fois plus, je pense qu'il s'en ira. Pour les joueurs, c'est la même chose et il faut utiliser au mieux leurs compétences tant qu'ils sont avec nous. Un joueur comme Santos a bien fait son boulot pendant cinq ans, mais il a eu envie de partir pour jouer un autre challenge. Je me voyais mal le retenir contre son gré. Ici, cela prend parfois des proportions démesurées, comme si l'enfant du pays était enlevé…


Pensez-vous que le recrutement de la saison dernière, jugé tardif, ait pu perturber le début de saison ?

Je rappelle qu'en novembre, nous étions troisièmes du classement ! Et si le recrutement a été "tardif", c'est aussi, par exemple, parce qu'un joueur comme Pagis était toujours là, à s'entraîner tout seul. Il était donc impossible d'enrôler un nouvel attaquant tant qu'il faisait partie de l'effectif. A ce sujet, l'affaire Pagis a été une faute professionnelle de la part du club, on n'aurait jamais dû le laisser partir.

Quel bilan tirez-vous de la saison qui vient de se terminer ?

Nous terminons dixièmes, à trois points de la sixième place, à cinq points du quatrième. Si on regarde tous les points qui ont été perdus à droite et à gauche, on s'aperçoit que la saison n'a pas été si mauvaise. Nous avons connu des blessures et pas mal d'éléments qui ont fait que nous avons fini en milieu de tableau. [...] Nous avons parfois manqué de réussite et cela a engendré une perte de confiance de la part des joueurs. Par conséquent, nous ne sommes pas passés loin de quelque chose de bien, dans plusieurs compétitions.

Chaque départ sera-t-il compensé par une arrivée ? Le départ d'Oruma entraînera-t-il l'arrivée d'un grand meneur de jeu ?

Le départ d'Oruma sera compensé par un joueur, effectivement, sachant que Jérémy Menez peut évoluer à ce poste-là. Il faut donc faire attention. Même si nous avons Kader, nous compenserons le départ de Santos par l'arrivée d'un nouvel attaquant. Et en défense, nous recruterons un, voire deux défenseurs, pour préparer l'avenir. Tout cela est lié aux départs éventuels. Si Monsoreau s'en va, nous prendrons un grand défenseur étranger. Mais la priorité reste un milieu offensif.

Y'a t-il des joueurs intransférables ?

Mis à part Monsoreau et Mathieu, tous les joueurs sont intransférables, mais chaque cas est un cas particulier. Paisley souhaite se rapprocher d'une grande ville, on va l'aider si on peut. Gnanhouan cherche un poste de titulaire ailleurs, je veux bien le laisser partir si on m'en donne le prix, Boudarène aurait peut-être intérêt à jouer ailleurs plutôt que de ne pas jouer ainsi...
Guy Lacombe sera-t-il l'entraîneur du FCSM la saison prochaine ?

Jusqu'à preuve du contraire, il est toujours l'entraîneur du club à ce jour. Il a manifesté son désir de partir, mais n'a pas de club pour l'instant. On en est là.

S'il devait partir, quel serait le profil de son successeur ?

Une certaine expérience, le goût de la formation, un mélange intelligent entre Jean Fernandez et Guy Lacombe. Un type sérieux, motivé, avec des conceptions d'entraîneur modernes et qui aime les hommes.

07/06/2005
Foot - Transferts : Paisley signe à Metz


Le défenseur du FC Sochaux Grégory Paisley a signé un contrat de deux ans en faveur du FC Metz, a indiqué mardi le site internet du club lorrain. Formé au Paris-SG, Paisley, 28 ans, international espoirs, était arrivé à Sochaux en 2003 en provenance de Rennes. Il lui restait une année de contrat. Il a disputé cette saison 25 matches de L1 et cinq matches de Coupe de l'UEFA (1 but).

Par ailleurs, le défenseur latéral de Metz Franck Signorino a affirmé mardi être en «contact avancé» avec Nantes, qui a confirmé de son côté son intérêt pour ce joueur. Cet arrière gauche de 23 ans est encore en contrat jusqu'en 2006 au FC Metz, son club formateur. «A Metz, j'ai fait le tour. J'ai envie de changer d'air, Nantes me semble être un bon pallier pour progresser», a indiqué Franck Signorino. «L'entraîneur (Serge Le Dizet), qui m'a donné le programme de reprise, m'a dit que le club visait la 8e place», a-t-il ajouté.

«C'est vrai, on l'a couché sur nos tablettes. Maintenant, je ne peux pas me prononcer davantage. Il fait effectivement partie des joueurs qui nous intéressent, mais jusqu'où peut-on aller dans les négociations ?», s'est-il interrogé, allusion aux hésitations de l'actionnaire (le groupe Dassault), qui pourrait choisir de restructurer le club, voire de le vendre.

22 juin 2005 UN MILIEU GAUCHE ET UN ATTAQUANT


Après les signatures d'Afolabi et de Bühler, le FCSM devrait enregistrer les signatures d'au moins deux joueurs afin de compléter son effectif en vue de la saison 2005/2006. Un milieu offensif gauche et un attaquant sont en effet annoncés.

Sochaux connaît sa défense pour 2005/2006. Les départs de Grégory Paisley, Sylvain Monsoreau et Ibrahim Tall ont en effet été compensés par l'arrivée en pro de joueurs formés au club (Josse, Rey et Lavoyer) et les signatures de Rabiu Afolabi et d'Arnaud Bühler. Ces deux derniers parlant français (le premier a joué en Belgique, le second possède la nationalité française), ils devraient s'intégrer parfaitement dans le credo suivi au moment de "penser" le recrutement de l'intersaison. "Nous voulons reconstruire un véritable groupe pour retrouver la force de cohésion, de solidarité qui faisait la force du FCSM il y a deux ans. Nous cherchons donc à recruter des gens sympas qui s'intégreront bien dans le groupe" expliquait ainsi le président Plessis mardi, au moment de la signature de Bühler.
Pour le reste, le recrutement sochalien devrait compter au moins deux nouveaux joueurs. Si, dans le secteur défensif, le FCSM n'a pas renoncé au Caennais Zubar ("Pourquoi pas ? Il faudra voir en fonction de nos finances" dixit le président sochalien), les efforts franc-comtois se porteront en priorité sur deux éléments de nature offensive. Tout en n'oubliant pas que des joueurs comme Zaïri ou Menez, tous deux polyvalents, devraient avoir des temps de jeu importants cette saison, les recruteurs sochaliens ont préparé le recrutement d'un milieu offensif et d'un attaquant.

"Pour le milieu offensif, nous avons beaucoup d'idées, mais plus on a le choix et plus c'est difficile" raconte Jean-Claude Plessis, précisant qu'il possède "une short list de quatre ou cinq noms, dont un joueur suisse". Cette dernière option est intéressant à double titre. Parce que le FCSM possède une bonne connaissance du proche championnat helvétique, mais aussi en raison de l'intérêt que cela suscite auprès de supporters sochaliens de plus en plus nombreux du côté de la confédération. Concernant l'attaquant qui rejoindra le Stade Bonal, le président du FCSM explique malicieux "connaître déjà son nom", mais aussi qu'il est impossible de le dévoiler pour le moment.

Après Arnaud Bühler, un autre joueur suisse pourrait rejoindre le FCSM et occuper le poste de milieu offensif gauche. Il sera rejoint par un attaquant pour compléter le recrutement 2005/2006

Reste que les joueurs qui rejoindront à présent l'effectif répondront à une logique. Outre l'aspect humain, comme expliqué plus haut, ils devront "parfaitement rentrer dans notre politique de recrutement de joueurs jeunes, motivés et ayant déjà l'expérience du haut niveau", comme le développe le président Plessis, rappelant également que "la vie d'un club comme le notre est la formation de jeunes joueurs et le recrutement de joueurs, tel Arnaud Bühler, venant à Sochaux pour se révéler avant de franchir un palier en signant dans un club plus huppé". Et le président de conclure qu'en "cette saison sans coupe d'Europe, nous allons pouvoir faire de belles choses tout en prenant le temps de préparer l'avenir".

vive la suisse mais faudrait pas abuser non plus sinon l attaquant on c tous que c'est ronaldo pfff ce plessis il croit nous la faire a nous

il pense peut etre à Marlet

si c est lu ice qui metonnerait je te promet je suis plus sochalien c klr et net tro la honte marlet

Le rôle du public

"Le rôle des supporters est primordial, pour un joueur dont ce qui se passe dans la tête compte autant que les jambes" assène le président qui trouve "malheureux que lors de la rencontre face à Olympiakos, il n'y ait pas eu plus de supporters que pour une rencontre contre un petit club de Ligue 1". "Il y a un problème" enchaîne-t-il, remarquant aussi que lors du match face à l'OM, "presque la moitié du stade s'est levée au moment du but marseillais". Et de conclure que, sans les Ultras et le Supporter Club, "le stade serait mort " tout en contestant à nouveau les sifflets : "que l'on siffle son équipe et ses joueurs à la fin du match s'ils ont fourni une faible prestation, je suis d'accord, mais seulement si le supporter a fait son devoir d'encourager son club. Qu'il siffle pendant le match, ça je n'admets pas."


un bout de l'interview du plessis sur le site de sochaux

soyons fou metont tous ce kil a di


Le président fait le point

Un quart du championnat disputé. C'est le moment décidé par Jean-Claude Plessis pour un premier bilan de la saison. Le moment aussi pour réaffirmer la politique du club.


Le classement après neuf matches


"Nous sommes actuellement reléguables, mais pas relégués" commence le président sochalien, précisant toutefois qu'avec "trois points de plus, Sochaux serait dixième". Et de rappeler que, l'an dernier, "le FCSM avait également mal démarré avant de remonter au classement au bénéfice d'une bonne série". Le mauvais début de ses hommes trouve aussi des explications ("le club a connu un cruel manque d'efficacité offensive en ce début de saison malgré un jeu plutôt bon pour un groupe remodelé"), une certaine relativité ("nous ne sommes qu'à trois points de Marseille, Monaco, Nantes et Rennes"), mais sans jamais être minimiser. "Il y a eu des erreurs individuelles qui ont causé des conséquences immédiates ainsi qu'un arbitrage un peu sévère parfois" remarque en effet le président. Ce dernier refuse pourtant de parler de crise et de remettre en cause le projet du club.


Une politique réaffirmée

"Notre politique a porté ses fruits ces dernières saisons !" affirme Jean-Claude Plessis, précisant que "le club possède des finances saines et un budget d'environ quarante millions d'euros" et "qu'il a réussi à dégager un peu de bénéfices la saison dernière". "Sochaux est le seul club français ne bénéficiant d'aucunes subventions" tient aussi à préciser Plessis.
Cette saison, c'est une dixième place qui a été budgétisée. La politique du club est également pleinement assumée concernant les transferts. "Le club a vendu pour dix millions de joueurs et a racheté pour dix millions de joueurs à l'intersaison" révèle le président. Sur les sept dernières années, l'effectif a été totalement remodelé et "les résultats sont pourtant présents" constate le numéro un sochalien en réponse aux attaques concernant les évolutions vécues cet été par l'effectif.




Difficile de garder les joueurs...

Même s'il accorde que "Pagis a été notre principale erreur en matière de transfert" à l'occasion de son départ à Strasbourg, Jean-Claude Plessis pense que le club "n'a pas été maladroit dans ses achats et dans ses ventes" depuis cinq ans. Et de démontrer qu'avec "Bruxelles qui limite la durée des contrats des joueurs à trois ans, il est difficile de retenir les joueurs sur le long terme" et que le club ne peut "empêcher un joueur comme Sylvain Monsoreau de jouer la Ligue des Champions dans un stade plein…"

Le FCSM tient aussi à garder un cap en matière de salaires. "Oruma aurait pu rester, mais il aurait fallu faire exploser notre masse salariale" confie le président. Autre point noir au moment de conserver les joueurs : l'ambiance du Stade Bonal. "Si Jérémy Mathieu nous a quitté, c'est notamment suite aux sifflets reçus. Le constat est le même pour Pierre-Alain Frau. C'est facile de siffler des jeunes de dix-huit ou vingt ans, mais il faut aussi les encourager" conclu Plessis sur le thème.

Le rôle du public

"Le rôle des supporters est primordial, pour un joueur dont ce qui se passe dans la tête compte autant que les jambes" assène le président qui trouve "malheureux que lors de la rencontre face à Olympiakos, il n'y ait pas eu plus de supporters que pour une rencontre contre un petit club de Ligue 1". "Il y a un problème" enchaîne-t-il, remarquant aussi que lors du match face à l'OM, "presque la moitié du stade s'est levée au moment du but marseillais". Et de conclure que, sans les Ultras et le Supporter Club, "le stade serait mort " tout en contestant à nouveau les sifflets : "que l'on siffle son équipe et ses joueurs à la fin du match s'ils ont fourni une faible prestation, je suis d'accord, mais seulement si le supporter a fait son devoir d'encourager son club. Qu'il siffle pendant le match, ça je n'admets pas."



L'avenir

"Sochaux est dix-huitième et reléguable, mais pas encore relégué" redit Plessis au moment d'évoquer l'avenir du club. Précisant que "si on continue dans la panique qui est en train de se propager, on y va", il estime qu'il "y a de la place pour revenir même si ça ne sera pas facile" concluant qu'il "faudra encourager nos joueurs". Et, plus optimiste, d'asséner un "on va revenir, j'espère dès samedi. Il faudra aller chercher les points sachant qu'en un match, tout peut basculer" et "il va falloir provoquer la chance qui nous fuit un peu depuis le début de saison grâce aux encouragements de tous".

A plus long terme, le président sochalien a aussi confirmé que "du point de vue des actionnaires et de l'équipe en place, la confiance est réciproque" et que les objectifs sont maintenus, "c'est-à-dire la pérennisation du club en Ligue 1 Orange". Sans exclure pouvoir regoûter dans un futur proche à la Coupe d'Europe.